-T'inquiètes pas, c'est rien. Mais faut rentrer, pour pas que sa s'infecte quand même.
Alex m'aida à me relever. Je regardais les autres, et d'une voix mélancolique, dit :

-Bon bah.... Je ... Je vais rentrer chez moi.

Mon bras me faisait mal. Mais je t'avais pas envie de rentrer. Pourtant, m'allonger dans mon lit ne me ferait pas de mal. J'adressais un signe de la main, aux autres et leur dit :

-Bisouss ! A la prochaine.

J'essayais tant bien que mal de sourire, puis me dirigea vers un petit escalier en bois. J'avais vraiment l'impression de me sentir seule, et je trouvais ce sentiment très dérangeant. Quand je pensais que j'aurais pu rester avec les autres à m'amuser. Mais non ! Il avait fallu que je tombe et que je me fasse mal ! Pourquoi cela n'arrivait qu'à moi ? J'aurais pu faire la connaissance d'une fille qui avait l'air simpa mais au lieu de ça je devais rentrer. J'espèrais qu'elle n'aille pas draguer Axel. Sinon on s'entendrait sûrement pas !

Une main sur la hanche, j'avançais lentement. Je fus prit de tristesse quand je m'imaginais Axel content que je sois partie. J'étais presque sûr qu'il se foutait pas mal de moi. Et cela me rendait encore plus triste. Pour une fille, il n'y a rien de plus cruel que de voir le mec qu'on aime ne pas l'aimait....

-Bisouss ! A la prochaine.

Un sourire se dessina sur son visage, mais c'était mal la connaitre que de penser qu'elle allait bien. La voir tourner le dos a la mer, et partir en direction de la route me donna un pincement au coeur. Je ne voulais pas qu'elle croit que je m'en fichais de la voir partir. Cela me faisait vraiment mal de la voire triste. Je jeta un coup d'oeil a mes amis.

Je la regardais partir, lentement, out en faisant la moue. Comment pouvais-je la laisser partir comme sa?! Je me précipita alors vers elle. Comme elle avançait lentement, je n'us pas de mal a la ratrapper. Je passa mon bras autour de son épaule, puis lui souris:

"Tu croyais quand même pas que ce serait si facile de te débarasser de moi?!"

Je pus percevoir un sourire sur ses lèvres mais je ne sus d'abord si il était réel, ou purement sortis de mon imagination. En tous cas, j'éspérais qu'elle allait me répondre oui, car sinon, j'aurais l'air bien con! Je continuas de lui sourire, en avançant.

"Dis... Je crois qu'on habite pas loin l'unde l'autre, tu m'autorise a t'accompagner?"

- Tu croyais quand même pas que ce serait si facile de te débarasser de moi ?!

Cette voix que je connaissais si bien. Elle était derrière moi. Et j'en étais contente. Si contente, que je sentis le rouge me montait jusqu'au oreille. Il avait donc penser à moi et m'avait suivi... Il était si chou. Un grand sourire se rajouta aussi. Mais je le diminuais un peu pour ne pas qu'il se doute des sentiments que j'éprouvais pour lui. En même temps il me trouverait sûrement idiote. A près tout, toutes les filles du lycée craquaient sur Alex, et je ne devais être qu'une fille comme les autres, juste que je partageais ma maison avec lui parce que nos parents se connaissaient.

Mon ami me sortit de mes pensées :

- Dis... Je crois qu'on habite pas loin l'un de l'autre, tu m'autorise a t'accompagner ?

Sur une voix amusée, je lui répondis :

-Hum... Je ne sais pas... Il faut avouer que tu me fais un peu peur.

Sur ce, je partis un peu à courir en avant, et me retournais finalement pour éclater de rire. Je regardais Axel, et d'une voix agréable je lui répondis sincère :

-Bien sûr que je t'autorise

Je lui faisais un petit clin d'oeil et rajouter comme pour moi même :

-C'est même génial que tu viennes...

Zoé semblait contente que je sois venus avec elle... Biensûr, c'était compréhensible, comment peut-on avoir envie de rester seul lorsqu'on ne se sen pas bien, ou qu'on as mal? Je lui souriais, et rigolais.

-Hum... Je ne sais pas... Il faut avouer que tu me fais un peu peur.

Ouais... J'avoue, je pouvais un peu faire flipper des gens, quand je le voulais, mais je ne croyais pas pouvoir lui faire peur a elle. Alors, en voyant qu'elle se méttait a avancer vite, je pris un air gêné, encontinuant de la regardarder s'en aller devant. Quand elle se retourna pour rigoler, je ne pus pas rester sérieux. Je me misa rire moi aussi, de bon coeur. Je la rarappas assez vite, -elle n'étais pas partie très loin-, puis je l'entendis dire:

-Bien sûr que je t'autorise

Elle dit cela d'une voix si... Agréable, d'une voix tellement naturelle! Je lui souris, mais je ne sus si mon sourir prenait un air amical, ou plus tendre. Je ne savais même pas lequel je voulais qu'il ai.Mais je sortis bien vite de ma reverie. Enfait, c'est une oix qui m'en avait sortis. Celle de zoé. Elle résonnait comment un bourdonnement, dont je ne comprenais rien:

-C'est même génial que tu viennes...

Je fis comme si je n'avais rien entendue. C'était tout comme, d'ailleurs, puise que je n'avais rien compris.

-Ouf! Tu m'as fait peur!

Je rigolais,tandis qu'on se raprochait vraiment de la maison.

-Ouf ! Tu m'as fait peur !

On rigolait de plus belle, puis continuons notre chemin. Les lfleurs à côté des quelles ont marcher était magnifique. J'étais comme prit par leur sorte de tendresse. Du tout moi ça. Alors que j'étais complétement perdu dans mes pensées, je ne voyais pas que l'on se rapprochait de la maison. Je me rendais soudain compte que... qu'en fait, je n'avais presque plus mal. Mais je n'avais pas envie que l'on retourne avec les autres. Cela faisait tellement longtemps que l'on ne s'était pas retrouver tout seul Axel et moi.

Je passais devant lui, et ouvrait la porte de la maison. D'un geste respectueux, je me pris pour un serveur de resto chic, et fit un petit moulinet avec ma main, avant de dire :

-Après vous très cher.

Je gloussais silencieusement et le suivit à
l'interrieur. Je m'asseyais sur la chaise la plus proche, et retirait mon pull. Tous ces jeux d'après quatre heure m'avaient un peu fatiguer. Je regardais alors mon ami comme pour lui demander du regard ce que l'on faisait...

Sur la fin du traget, on n'entendis plus aucune voix. Et d'ailleurs, je ne me rendis même pas compte que nous étions arrivés. En rentrant à la maison, Zoé se pancha, et immitaunserveur de grand resto, en tournant gracieusement son poignet, puis dit:

-Après vous très cher.

Je continuais de rigoler entrant dans le couloir de la maison. Puis Zoé s'assit sur une chaise, près de la porte... Dans la maisons, les chaises bougaient souvent, et se retrouvaient à des places... étranges. Ce n'était pas grave, juste vraiment bizarre. Je lui dis, en la regardant, avant de monter:

-Attends là, je vais chercher du désinfectant, et un pensement pour ton coude.

Je courrus dans l'éscalier, pour ne pas trop la faire attendre. En redescendant, j'avais tout ce qu'il me fallait. Je m'agenouillas devant elle, et pris son bras dans ma main. Je montas mon regard vers elle, pour prendre le désinfectant. Mon regard croisa soudain ses yeux.

Plongé dans sesyeux, je ne pouvais plus bouger. Une mystérieuse force m'entrainait vers elle. Sans laquitter des yeux, je m'approchas d'elle, doucement. Sans penser a ce que je faisais, j'approchais mes lèvres des siennes, avant de les y déposer un court instant sur les siennes. Alors, aussitôt, je repris mes ésprits, et m'écartas d'elle.

-Zoé... Exuse-moi...

J'étais tellement gêné! Je le demandais vraiment pourquoi j'avais fais sa. J4avais toujours réussis à me contrôler, pourquoi pas cette fois? En ce moment, j'avais envie... De me cacher. Que personne ne puisse me voir. Je 'étais pas rouge, car je ne rougissais jamais, mais je devinas que je devais avoir un air gêné, cripsé même peut-être. Si il y avait eu de la place entre le mur et la tapisserie, je m'y serais précipité sans réfléchir, mais il n'y avait pas de place pour moi. Alors je devais rester là.

Toujours aussi gêné, je me releva, puis la regarda, d'un air désolé. Je ne sais pas comment s'est possible, mais j'étais choqué. J'avais peur de bouger, et pourtant, je ne regréttais pas d'avoir fais sa. C'est avec cet étrange sentiment telement contradictoire que je fixais Zoé. Halletant, honteux, je pouvais comparer la scène à un criminel épiant sa cible. Mais je n'étais pas un criminel, et Zoé n'était pas ma cible...

-Attends là, je vais chercher du désinfectant, et un pensement pour ton coude.

En même temps je ne pouvais pas aller bien loin. Je regardais donc autour de moi. C'était décider. Quand Axel reviendrait, je lui dirais que je l'aime. Ca serait sûrement dur. Je me prendrais sûrement un coup dans la gueule. Mais tant pis. Quoi que... Ce sera dure de vivre avec lui après avoir dit ça... Je ne savais plus quoi faire en fait. Mais il revint bien vite et son doux regard m'attendrit.

Il s'agenouilla devant moi et commença à désinfecter ma plaie. Soudain, son regard se perdit dans le mien. Pendant que moi je me noyais dans le sien. Sans que je m'en aperçoive, il approcha sa tête de la mienne. Toujours fixer l'un sur l'autre. Je sentis un frisson me parcourir. Puis ses lèvres se posèrent sur les miennes. Mon coeur se mit à battre rapidement, et puis on se sépara. Et j'en eus beaucoup de regret. Le rouge me monta alors aux joues. Et j'eus l'impression de ressembler à une tomate. Comme si il n'aurait pas du, Axel me dit presque honteux :

-Zoé... Exuse-moi...

Pourquoi ? Pourquoi me demandait-il pardon ? Il n'avait pas à s'escuser. Mais comment lui dire que cela ne m'avais pas déranger. Il avait osé m'embrasser, il fallait maintenant que je lui dise la véritée. En fait, j'avais envie de partir à courir. Echaper à son regard. Mais j'avais encore envie de sentir ses lèvres sur les miennes. Comment est-ce que je pouvais être aussi contradictoire ?! Je ne savais pas du tout quoi faire. Si je courrais dans ma chambre, il le prendrait sûrement mal. Mais comment lui faire comprendre sans parler que j'éprouvais plus que des sentiments amicales à son égart ? Je savais. Je prenais donc une grande respiration. Je m'asseyais à côté de lui par terre. Je souris comme je savais le faire et m'approchais encore de lui. Passant ma main dans son cou, je l'embrassais moi aussi. Puis au bout de quelques secondes, je m'écartais et me plaçais dans ses bras. Ses bras si acceuillant...

D'un geste doux il m'enlaça. Tendrement. Doucement. Doux contact qui reste gravé dans les resprits. Si seulement j'avais su que ce serait facile. Que rien ne faisait peur. Qu'un bien fou m'avait envahi. Je n'aurais jamais hésiter à lui avouer mes sentiments. Ma peur avait maintenant disparu. Laissant la place à la joie, au bonheur, et à l'amour. Cette chose que j'avais tant rechercher. J'était à présent calînée par lui. Lui... Ce garçon tant attendu. Ce prince charmant. Dont rêve toute les filles. Il faut tout de même avouer qu'une chose nous reste à coeur. Sera-t-il fidèle ? Ou nous jètera-t-il dans la poubelle au bout d'une semaine ? Dans mon cas, je connaissais Axel depuis ma plus tendre enfance. De A à Z. Je savais donc qu'il serait fidèle. Passer ma vie à ses côtés serait une chose formidable. Après, rêver est une bonne chose. Mais quant à moi. Ce n'est pas un rêve mais la réalitée....

- Zoé...

Je souris. J'avais failli m'endormir dans ses bras. Accueillant. Ouvert. Agréable. Et chaud.

- Est-ce que... Tu as mal ?

Je rigolais intérrieurement. Puis gloussais normalement. Je n'avais plus mal depuis un petit moment. Après tout, depuis que j'avais sentis le contact de ses lèvres sur les miennes, la douleur s'était dissipée. Maintenant qu'il savait ce que j'éprouvais pour lui, je pourrais sûrement lui dire.

Je le regardais donc dans les yeux. D'une voix mielleuse je dis :

- Plus depuis que je suis avec toi.

Il était tellement chou de s'inquiéter pour moi. Je touchais le bout de son nez et continuais :

- Mais si tu veux, je peux faire celle qui souffre.

Je me mis alors à gémir telle une personne en train de mourrir. Levant les bras au ciel, je devais avoir l'air d'une folle. Puis, j'attachais mes bras au cou d'Axel et fit comme si il était mon Prince Charmant à moi :

- Je t'en pris. Sauve moi !

Malgrés les folies que je faisais, on devait bien voir que je rigolais en même temps...

|| Ok. Je lock alors :)||